Sommeil, sédentarité, baisse de la pratique de la lecture, problèmes de concentration, impact des réseaux sociaux... Quels sont les effets de la surconsommation des écrans sur la santé des enfants ? Comment bien les utiliser au quotidien ? Pour répondre aux interrogations des familles, la commission d'experts sur les écrans vient de remettre un rapport à Emmanuel Macron. Elle préconise notamment une interdiction des écrans pour les moins de 3 ans. Axelle Desaint, directrice du programme "Internet sans crainte" et membre de la commission, considère que "l'entrée dans le numérique doit se faire progressivement, adaptée au développement de l'enfant". Elle explique qu'il faut apprendre "à avoir un regard critique" et "agir et réagir face aux situations auxquelles on est confrontées".
Commandé par Emmanuel Macron en janvier, le rapport d'experts sur les écrans vient d'être remis le 30 avril. Il préconise notamment d'interdire l'usage des écrans aux enfants de moins de 3 ans et des téléphones portables aux moins de 11 ans. Sur le plateau du "Grand JT de l'Éducation", Agnès Evren, sénatrice de Paris, et vice-présidente des Républicains, salue les "excellentes recommandations pour les 0-3 ans" proposées par le groupe d'experts. Elle estime que les "écrans envahissent le quotidien des jeunes". Pour lutter contre, elle a déposé une proposition de loi au Sénat pour adopter un "usage intelligent et raisonnable des écrans, notamment pendant le temps scolaire". Elle suggère également d'instaurer une "pause numérique" à l'école.
Impact des réseaux sociaux, exposition aux écrans... Quels sont les bons usages à adopter pour les enfants ? Un rapport d'experts, commandé par Emmanuel Macron, vient d'être publié le 30 avril pour éclairer les familles. Il préconise notamment d'interdire les écrans aux moins de 3 ans et les téléphones portables aux moins de 11 ans. Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit en plateau Axelle Desaint, directrice d'"Internet Sans Crainte" et Grégoire Borst, directeur du LaPsyDÉ. Ils sont tous deux membres de la commission sur les écrans.
Comment bien utiliser les outils numériques au sein du foyer ? Le Centre pour l'éducation aux médias et à l'information (CLEMI) livre ses conseils dans le "Focus" du jour.
Dans son "Idée derrière la tech", Alexandra Devilliers se penche sur la place de l'actualité dans la vie du lycéen.
Dans un rapport remis à Emmanuel Macron, le 30 avril dernier, la commission d'experts sur les écrans alerte sur "la réalité de l’hyperconnexion subie des enfants" et sur "les conséquences pour leur santé, leur développement, leur avenir". Ce rapport, intitulé "Enfants et écrans : à la recherche du temps perdu", a pour objectif de "faire des recommandations systémiques pour répondre aux problématiques qui se posent pour les enfants face aux écrans", explique Grégoire Borst, directeur du LaPsyDÉ, et membre de la commission sur les écrans.
Sommeil, sédentarité, baisse de la pratique de la lecture, problèmes de concentration, impact des réseaux sociaux... La commission d'experts chargés d'évaluer l'impact de l'exposition des jeunes aux écrans vient de rendre un rapport très détaillé, intitulé "À la recherche du temps perdu". En parallèle, le président de la République Emmanuel Macron a donné un mois au gouvernement pour "examiner les recommandations de ce rapport et les traduire en actions". Faut-il limiter l'accès des jeunes aux écrans ? Comment y parvenir ? Agnès Evren, sénatrice "Les Républicains" de Paris et Axelle Desaint, directrice du programme national "Internet sans crainte" sont les invitées de Virginie Guilhaume pour en parler.
"Qui laisse passer la lumière", c'est le titre de la bande dessinée d'Antoine Rocher, auteur. Il en dit plus en deuxième partie.
En fin d'émission, dans sa chronique "Quoi de neuf sur les réseaux ?", Guillaume Ouattara donne quelques conseils pour limiter le temps d'écran.
Permettre aux élèves d'utiliser leur smartphone en cours pour apprendre le français ou encore les maths, c'est ce que propose l'application ModCo. Hélène Azevedo, co-fondatrice de ModCo, en dit plus sur le plateau de "L'École du futur".
Début avril, Nicole Belloubet, la ministre de l'Éducation nationale, s'est positionnée en faveur d'une "pause numérique" dans les collèges. Cette annonce intervient quelques jours après le passage à tabac de Samara, 13 ans, et prise pour cible sur les réseaux sociaux. Cette initiative gouvernementale va-t-elle enfin permettre d'éradiquer la violence entre jeunes ? Pour en parler, Philippine Dolbeau reçoit Hélène Azevedo, co-fondatrice de l'application "Modco".
Anne L'Huillier a décroché, l'année dernière, le prix Nobel de physique 2023. Xavier Terrade revient sur son parcours dans le "Focus" du jour.
Dans son "Idée derrière la tech", Jeanne Dreyfus évoque le détournement des chefs-d'œuvre par les publicitaires.
Le 8 avril dernier, une proposition de loi visant à réguler l'usage des écrans dans les crèches et chez les assistantes maternelles a été déposée le 8 avril dernier par les députés LR Annie Genevard et Antoine Vermorel-Marques. Elle vise à ne plus exposer les enfants, de 0 à 3 ans, devant les écrans. Pour Annie Genevard, secrétaire générale du parti "Les Républicains", les "parents ont une attitude ambivalente. Ils sont parfaitement conscients que les écrans, à haute dose, sont dangereux pour les enfants", mais ils en consomment également "parfois de façon excessive". Sur le plateau du "Grand JT de l'Éducation", elle livre son point de vue pour limiter leur usage.
Annie Genevard et Antoine Vermorel-Marques, deux députés de droite, ont présenté, le 8 avril à l'Assemblée nationale, une proposition de loi visant à ne plus exposer les enfants devant les écrans, à la crèche ou chez l'assistante maternelle. Selon Annie Genevard, secrétaire générale au sein du parti "Les Républicains", "l'acquisition d'un certain nombre d'aptitudes, comme le langage, la motricité ou les interactions avec l'entourage" se produit entre 0 et 3 ans.
Comment lutter contre le sexisme ordinaire à l'école et en entreprise ? C'est le cheval de bataille de la société française Reverto. Cette entreprise s'appuie sur la réalité virtuelle pour sensibiliser le grand public aux différentes situations de harcèlement. Guillaume Clere, président et fondateur de Reverto, est l'invité de Philippine Dolbeau pour en parler.
Il est suivi par plus de 3,5 millions d'abonnés sur YouTube. Dans le "Focus" du jour, Jean Martinho dresse le portrait de Chris Conte alias Poisson Fécond.
Dans son "Idée derrière la tech", Alexandra Devillers fait le point sur les écoles de communication.
En France, en 2020, une étudiante sur dix a déjà été victime d'agression sexuelle. Pour sensibiliser au harcèlement, Guillaume Clere a fondé Reverto. Concrètement, la société propose au participant d'enfiler un casque de réalité virtuelle pour se plonger dans une situation de harcèlement. Objectif ? Apprendre à identifier les risques et les comportements problématiques. Guillaume Clere, président et fondateur de Reverto, explique comment la société construit ses scénarios pour sensibiliser au consentement.
Apprendre à utiliser intelligemment son smartphone et à repérer les dangers d'internet et des réseaux sociaux, c'est ce que propose l'application "Mon permis smartphone". Développée par Milan presse, cette innovation a été distinguée dans la catégorie médias, lors des Assises du journalisme de Tours. Camille Laurans, rédactrice en chef d'1 jour 1 actu", explique son fonctionnement.